On dit que le cerveau est un émetteur et récepteur. Ce qui est véridique. Mais pas dans le sens dans lequel on imagine ! Traditionnellement, on émet le postulat que dans le mécanisme de télépathie, le cerveau de l’émetteur transmet l’information télépathique à l’instar d’onde hertzienne au cerveau de son percipient qui le reçoit puis le décode. A cela nous dirons TOTALEMENT FAUX!!!!!!!!!
Alors que ce passe-t-il en réalité ?
A l’origine l’information se créer dans le corpus energeticus, puis se transmet à la région du corps bio-photonique contrôlant la fonction cérébrale via les filaments bio-photoniques communiquant avec le cortex cérébral. De là les neurones composant le cortex cérébrale reçoivent l’information pour la convertir en énergie bioélectrique. C’est la transcription neuro-électrique de la pensée. Puis, elle fait le chemin inverse. C’est-à-dire :
Neurone > Corps biophotonique > Corpus énergéticus
De là, l’information passe dans la couche prima du corpus energéticus pour se retrouver dans la cavité portale du corps universus. Pénètre le portal dimensionnel qui téléporte directement l’information dans le portail dimensionnel du percipient. Autrement dit, la transmission du flux télépathique ne se fait pas de cerveau à cerveau, mais de portail dimensionnel à portail dimensionnel. Puis une fois dans le portail du percipient, l’information remonte les couches du corps energéticus, se transmet au corps bio-photonique puis au cerveau qui convertie à son tour le flux en signal bioélectrique (transcription). Enfin, l’information refait le sens inverse pour finalement être perçue par la conscience du percipient et stocker dans l’une des couches mémoires de son corpus energéticus.
Ce qui nous donne schématiquement :
Alors à quoi sert la fonction neuronale en télépathie ?
Elle sert juste à indiquer au corps biologique la présence du message télépathique et éventuellement le traduire sur le plan somatique si nécessaire. Par exemple, vous êtes télépathiquement connectés à une personne qui se cogne et se fait mal. A ce moment là, vous ressentez la même douleur située dans la même région anatomique de votre corps. Il y a eu donc réception, transcription neuro-électrique puis transmission par le réseau neuronal de l’information télépathique de la douleur dans votre propre corps. La réalité est que le neurone n’émet pas et ne reçoit pas directement l’information télépathique. Il ne fait que la traiter sur le plan somatique, c’est-à-dire sur le plan du corps.
Oui, mais alors pourquoi dites-vous que le cerveau est émetteur et récepteur ?
En fait, il s’agit ici d’un abus de langage, car le tissu neuronale émet et reçoit bien l’information télépathique, mais seulement pour communiquer son flux informationnel du corps biologique au corps bio-photonique ou vice versa; et non de l’émetteur au percipient ! Pour mieux comprendre, regardons la structure anatomique d’un neurone et sa fonction dans la transmission et réception du flux télépathique.
Pour faire simple, le neurone du grec Neûron (Νεῦρον) que l’on peut traduire par « fibre » est une cellule de bio-information. Cette dernière se constitue d’un corps cellulaire, de dendrites et d’un axone.
Le corps cellulaire aussi appelé péricaryon ou plus communément Soma (Σωμα) en grec (qui veut dire le corps) est composé d’une membrane neuronale protégeant le cytoplasme dans lequel baigne un noyau, le réticulum endoplasmique rugueux (RER), le réticulum endoplasmique lisse (REL), l’appareil de Golgi et les mitochondries. Il a pour fonction le traitement de l’information et la traduction de l’information psychique sous la forme de bio-signal dans la matérialité. (Transcription neuro-electrique)
La dendrite du grec dendron (Δενδρον) qui veut dire « arbre » se divise par dichotomie. C’est-à-dire par ramification. Ce qui génère une arborescence du neurone sous forme de filaments courts et ramifiés. La dendrite est le prolongement du neurone. Elle conduit le bio-signal électrique transmit au niveau des synapses vers le péricaryon. De ce fait, sa fonction est donc la réception de l’information.
L’axone du latin Axon emprunté du grec Axon (Αξων) qui veut dire « l’axe » est une fibre nerveuse qui se termine par des terminaisons axoniques faisant la liaison avec les synapses. Cette fibre nerveuse est engainée par une couche protectrice composée de lipide, la myéline. Cette dernière est formée de segments contenant chacun un neurolemmocyte aussi appelé cellule de Schwann. Chaque segment myélinisé est séparé par un nœud, les nœuds de Ranvier. La myéline à pour fonction l’isolation et la protection des fibres nerveuses ainsi que l’accélération de la conduction du potentiel d’action (force nerveuse) le long de l’axone. L’axone quant à lui pour fonction de conduire l’information du péricaryon/soma vers d’autres neurones via les synapses. De ce fait, sa fonction est donc l’émission de l’information.
A partir de là, dans le processus télépathique, le flux télépathique venant du corps bio-photonique est reçu dans le noyau du corps cellulaire. De là, il est converti en signal bioéléctrique (transcription neuro-électrique). Puis l’axone reçoit le signal du corps cellulaire pour le transmettre au neurone suivant jusqu’à sa terminaison, la synapse. La dendrite du neurone voisin prend l’information et le transmet jusqu’à son corps cellulaire. Chaque neurone traite une partie de l’information télépathique avant de repartir dans les filaments bio-photoniques communiquant avec le cortex cérébral.
Comme vous pouvez le voir, l’émission et la réception du flux télépathique au niveau du cerveau s’opère entre les filaments bio-photoniques/neurones et non entre le cerveau de l’émetteur et le cerveau du percipient. Dans ce sens, le cerveau ne communique pas directement le flux télépathique. Il ne fait que le traiter au niveau somatique. C’est-à-dire au niveau du corps.
La fonction cérébrale dans le processus télépathique est simplement de transcrire et communiquer l’information au corps biologique et non de le transmettre à un autre cerveau. Ainsi la transmission réelle du flux télépathique se fait entre les portails dimensionnels respectifs de l’émetteur et de son percipient situé dans le corps psionique.
Source: les enseignements shandariens