Le 6ème sens est une erreur

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Le 6ème sens est un faux concept

Oui, le 6ème sens est un faux concept, une erreur liée à une mauvaise interprétation faites par l’homme. Pour le comprendre, nous devons d’abord savoir que ce que l’on appelle « sens » ne sont en réalité rien d’autre que des facettes de la perception de la conscience. Ce sont des sens dit « psychique ». Leurs fonctions est de permettre à l’existence de la conscience par la perception de la réalité. Il n’y a pas de conscience  sans perception. Dès lors, c’est à travers la perception cumulée de ces sens psychiques que la conscience peut avoir une représentation d’elle-même et de la réalité.

Or, ce que beaucoup de personne ignore est que ces sens psychiques préexistent à la fonction de l’organe. C’est-à-dire qu’ils existent bien avant les organes assurant les 5 sens biologiques. C’est-à-dire les yeux, les oreilles, le nez, la peau et la langue. Ce n’est qu’une fois la conscience  projetée dans une forme humanoïde de la matière, ici le corps humain, que les 5 sens psychiques de cette dernière  deviennent des sens biologiques. Lesquelles s’exprimant à travers leurs organes et systèmes organiques dédiés. Ce qui donnera: la vue, l’ouïe, l’adorât, le touché et le gout.

Nous avons ainsi comme résultat:

► La voyance/clairvoyance (sens psychique) devient à travers l’organe des yeux la vue (sens biologique).

►La clairaudience (sens psychique) devient à travers l’organe de l’oreille, l’audition (sens biologique)

►La clairsentience (sens psychique) devient à travers l’organe de la peau, le touché (sens biologique)

►La clairolfaction (sens psychique) devient à travers l’organe du nez , l’odorat (sens biologique)

►La clairgustance (sens psychique) devient à travers l’organe de la langue , le gout (sens biologique)

Nous pouvons donc constater qu’il n’y a pas de 6ème sens, mais simplement 5 sens psychiques qui une fois projetés dans la matière et ses formes (nos enveloppes charnelles) deviennent les 5 sens biologiques que nous utilisons sur ce plan de réalité.

La perte de la capacité sensorielle 

Cependant, les limitations imposées par  la biologie de l’enveloppe rétrécissent le champ de perception de ces sens. Ce qui a pour effet de créer des angles morts, des illusions, des erreurs ainsi que des limites dans leurs acuités et distances. C’est ce que l’on appelle dans la pensée shandarienne « l’altération de la capacité sensorielle ». Cette altération n’est qu’un effet normal et temporaire. Normal, car il s’agit d’une conséquence obéissant aux lois de la physique. Temporaire, car cela ne durera que le temps de la projection conscientielle dans son enveloppe biologique. Cette altération de la capacité sensorielle n’est pas par conséquent pathologique.

Effet grossier et raffiné de la capacité sensorielle 

penetration sens matierePlus le sens psychique se rapproche du biologique, plus il devient grossier. Car il est progressivement limité par la matière biologique dans laquelle celui-ci se manifeste.  C’est l’effet direct de l’altération de la capacité sensorielle précédemment expliquée. Cet effet grossier se traduit par le fait que la perception de la conscience devient  moins net et précis. A l’inverse, plus le sens psychique s’éloigne du biologique, plus il devient raffiné. Car il se libère progressivement de la limitation de la matière biologique dans laquelle celui-ci se manifeste. Ce qui fait que ce dernier retrouve sa pleine capacité sensorielle. On parle alors de « normalisation de la capacité sensorielle ». Cela arrive lors des projections astrales et des EMI (expériences de Mort Imminentes). Là ou la conscience retrouve sa pleine capacité et acuité sensorielle. Ce qui explique d’ailleurs pourquoi les expérienceurs ont une perception accrue durant cette normalisation de leurs capacités sensorielles.

Dans le schéma ci-dessus, nous avons une bande de la largeur du champ de perception de la conscience (les sens psychiques) qui se rétrécie au fur et à mesure qu’il pénètre la matière biologique du corps humain. Ce rétrécissement de bande indique l’altération progressive de la capacité sensorielle de la conscience une fois projetée et ancrée dans les formes de la matière. Ici une forme humanoïde pour le corps humain.

Source: les enseignements shandariens

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