Lorsque qu’une femme est enceinte, sa conscience et son énergie de vie entre en communion avec la conscience et l’énergie nidant et se réincarnant dans son ventre. Cette communion entre les énergies de vie créée un lien énergétique et télépathique entre la mère et l’enfant qu’elle porte.
Là ou le lien maternel mère-enfant se créer et se développe. Dans ce sens, le lien maternel est un lien télépathique connectant la conscience de la mère à l’enfant. Ce qui explique pourquoi certaines mères pressentent les dangers pour leurs enfants. Mais la formation de ce lien n’est pas systématique, car il peut aussi arriver qu’aucun lien ne se créer. Cette absence de lien se manifeste alors par un désintérêt et une indifférence de la mère envers son enfant. C’est comme cela qu’on voit hélas, des femmes qui en ont strictement rien à foutre de leurs progénitures et qui ne s’en occupe absolument pas! Cela existe. Cela existe…
A travers ce lien maternel, un échange subtile et invisible d’information et d’énergie entre les 2 consciences incarnées se fait. Là ou cette échange d’information et d’énergie renforcera la conscience du nouvel incarné et par extension, soutiendra son développement fœtal. Du coté de la mère, l’échange apportera des informations au niveau de son inconscient contribuant à son évolution de conscience (spirituelle).
Nous avons alors 2 expériences de vie se produisant parallèlement:
- L’expérience de la grossesse pour la mère
- L’expérience utérine pour la conscience réincarnée
L’expérience de la grossesse pour la mère apporte la connaissance de la création de la vie dans l’univers à travers son propre corps et ses ressentis qui soit disant passant n’est pas toujours une sinécure! Il faut se les taper les 9 mois de grossesse! Cela en plus des joies hurlantes et vivifiantes de l’accouchement et de ses ressentis. L’expérience utérine pour la conscience incarnée apporte la connaissance essentielle de la vie dans la matérialité de manière subtile. Connaissance qui sera ensuite élargie après la naissance et au fur et à mesure de la vie terrestre à venir.
Femme nulligeste, primigeste et multigeste
Au fur et à mesure des grossesses et accouchements la femme perd peu à peu sa force de puissance procréatrice (1), mais tout en conservant sa fécondité jusqu’à sa ménopause. Autrement dit, la perte de son énergie procréatrice à peu d’incidence sur sa capacité à avoir des enfants. Dans ce sens, l’énergie procréatrice n’a pas pour but de supporter la fécondation, mais de supporter la viabilité du fœtus jusqu’à sa maturité. Car l’énergie procréatrice qui initie la fécondation est celle de l’homme et non de la femme. Il faut ainsi se souvenir que dans le processus de procréation l’homme est émetteur et la femme récepteur de vie. Cette disposition anthropologique explique d’ailleurs les différences anatomiques de l’appareil génital entre les hommes et les femmes.
Coté femme, cette perte d’énergie est la conséquence du transfert de cette énergie de procréation et de sa transformation à l’enfant porté pour son développement et maturation fœtale. Un transfert naturellement opéré à travers le lien maternel mère-enfant.
La femme nulligeste du latin nullus «nul » et gerere « porter » est une femme qui n’a jamais été enceinte. La femme nulligeste conserve l’entièreté de son énergie et puissance procréatrice jusqu’à son premier enfant voir jusqu’à sa ménopause si celle-ci n’a jamais eu d’enfant.
La femme primigeste du latin primus « premier » et gerere « porter » est une femme qui est enceinte pour la première fois. La femme primigeste perd à minima de son énergie et puissance procréatrice. Si la femme avorte, sa perte énergétique ne sera égale qu’au temps d’existence de l’embryon. Autrement dit, elle ne perd pas grand chose…
La femme multigeste du latin multus « plusieurs » et gerere « porter » est une femme qui à été enceinte plusieurs fois. La femme multigeste perd de manière variable (selon le nombre de grossesse) de son énergie et puissance procréatrice.
Mais cette perte de l’énergie procréatrice se manifeste aussi dans la chair à travers l’état esthétique du corps durant et après accouchement (linea nigra, vergetures, modification du nombril, masque de grossesse, etc). Sur le plan somatique/clinique cela est la conséquence de la grossesse point-barre. Alors que sur le plan énergétique, cela est aussi la conséquence d’une perte de cette énergie procréatrice féminine ainsi que l’adaptation du corps d’énergie à la grossesse. Dans ce sens, il ne faut pas oublier que l’énergie sous-tend la matière de vie. Si l’énergie est modifiée dans sa fréquence et sa forme, la structure de la matière change, se transforme.
Dans le cas d’une grossesse, le changement de fréquence du corps biophotonique (l’énergie) modifie le corps biologique (la matière) par l’intermédiaire des mécanismes bio-physiologiques de ce dernier. Ceci afin que le corps biologique s’adapte et soit en capacité de mener la gestation jusqu’à son terme. L’équilibre, le fonctionnement et la survie du corps (l’intérieur) prime ainsi sur sa beauté et son esthétisme (l’extérieur).
La nature ayant horreur du vide, cette perte est compensée par d’autres énergies non-procréatrices produites par les corps psioniques et bio-photoniques. Traduction: la femme perd d’un coté, mais gagne d’un autre. Là est la compensation.
Enfin, la perte de cette énergie procréatrice devient totale à partir de 15 ou 30 enfants portées durant son existence ou en cas de ménopause voir d’infécondité. Ce nombre de 15 à 30 enfants coïncide avec les limites biologiques du corps féminin et de sa matrice (son utérus) entre grossesse et temps de récupération. Bien entendu, toutes les femmes ne vont pas jusqu’à 30 enfants. D’ailleurs a moins d’être endoctrinée ou complètement à la masse, aucune femme censée n’accepterait de supporter physiquement et psychologiquement jusqu’à 30 grossesses et accouchements durant toute sa vie. Il s’agit donc ici d’une indication maximale qui ne serait refléter la conjoncture actuelle d’enfant par femme.
Toutes les femmes ne sont pas forcement faites pour enfanter
La conscience à la base est androgyne qui nide et s’incarne dans un corps de femme, le fait pour expériencer le coté et la condition féminine dans la matérialité. Une féminité qui coïncide avec les besoins évolutifs et expérimentaux (spirituels) de la conscience nidée/incarnée.
Toutefois l’expérience de vie féminine n’inclut pas forcement le fait d’avoir des enfants. Et cela même si le corps de la femme est biologiquement équipé pour l’enfantement.
Ce qui implique que contrairement aux normes culturelles et sociétales, toutes les femmes humaines de cette planète ne sont pas forcement faites pour avoir des enfants. Cela sera parfois pré-programmé puis imposer par la nature en cas d’infécondité ou par choix d’incarnation. Là ou la femme fera le choix inconscient de ne jamais avoir d’enfant. Dans ce sens, pour avoir un enfant, il faut être biologiquement féconde, mais aussi que l’inconscient soit ouvert à la possibilité d’avoir un enfant. Pas forcement qu’il dise « oui je le veux », mais qu’il en accepte la possibilité.
Dans ce sens, vous pouvez avoir des femmes qui disent « non je ne veux pas d’enfant » consciemment et qui se retrouve quant même enceinte! Pourquoi? Parce que leurs inconscients (moi supérieur) étaient ouvert à cette possibilité et que leurs refus (qui était un NON de l’ordre de l’égo/moi inférieur) n’était pas dans l’alignement de leurs présents choix/programme d’incarnation.
Ainsi si le fait d’avoir des enfants n’est pas inclut dans son choix/programme d’incarnation féminin, la conscience réincarnée dans un corps de femme n’enfantera tout simplement pas. Elle peut avoir des relations sexuelles avec un homme, mais ses ovocytes (oeufs de Ktéis) ne seront jamais fertilisés par les spermatozoides (lait de phallos) de son ou de ses partenaires – si il y en a plusieurs.
(1) Énergie procréatrice: énergie de vie résultant de la fusion entre de l’énergie psionique et bio-photonique intervenant dans la dynamique de procréation des corps humains. Cette énergie est produite durant l’acte sexuel et libérer sous forme d’orgasme. Mais elle est fixée sur le zygote > embryon > fœtus après fécondation. Les hommes possèdent également cette énergie procréatrice qui soutient l’ éjaculation en parallèle des mécanismes physiologiques d’émission du sperme. Mais aussi en soutient au processus de fécondation de l’ovocyte par ses spermatozoïdes. Là ou l’énergie procréatrice féminine prend le relais pour le passage du zygote au stade embryonnaire, puis fœtal jusqu’à sa maturation complète vers la 41ème semaine d’aménorrhée . L’énergie procréatrice masculine et féminine est alors progressivement et totalement absorbée par les tissus du fœtus en croissance.
Source: les enseignements shandariens